Les Chanvres de l’Atlantique dans Presse Lib

Retrouvez un bel article sur Les Chanvres de l’Atlantique, entreprise hébergée de Domolandes et spécialiste du chanvre sous toutes ses formes.

Extrait de l’article :

Basés à la technopole Domolandes, les Chanvres de l’Atlantique s’imposent dans de nombreux domaines, tels que l’alimentaire, le textile, la construction, la cosmétique ou encore le bien être…

Au moment de passer son bac, Vincent Lartizien a finalement cédé à l’appel de l’Océan : passionné de glisse, il part à Hawaï dans les années 1980 et devient surfeur professionnel. Là germe une belle aventure.

« J’y ai passé 20 ans en développant mes connaissances en médecine alternative. C’est là-bas que j’ai découvert le chanvre, une plante miracle qui répond aux quatre besoins fondamentaux de l’Homme. À savoir se nourrir, se loger, s’habiller et se soigner », retrace-t-il.

Dans le chanvre, tout est bon pour Vincent Lartizien : ses graines sont sources de vitamines et très nutritives (une alternative extraordinaire au régime carné) et sa fibre peut être transformée en textile (avec des propriétés antibactérienne, antifongique, ignifuge et thermorégulatrice) ou pour le bâtiment en remplaçant le béton. Cerise sur le gâteau, cette plante consomme peu d’eau, fixe le carbone, dépollue les sols et les structure…

De retour en France, Vincent Lartizien décide d’explorer ses principales qualités mécaniques et nutritives sur son lieu même de production, au sud des Landes. Il crée en 2015 « « Les Chanvres de l’Atlantique pour cultiver cette plante en France de manière raisonnée.

La marque Nunti-Sunya a rapidement vu le jour pour commercialiser la production sous différentes formes : de l’huile, des graines, des compléments alimentaires, de la farine… « Le chanvre possède un potentiel énorme, ses possibilités d’utilisation sont illimitées. En six ans, nous sommes passés d’une plantation de 1 à 300 hectares en Aquitaine et à travers toute la France », assure le fondateur de Nunti-Sunya.

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L’article complet est à consulter ici :

https://presselib.com/chanvre-martizien-nunti-sunya-domolandes/?mailtic=[id]&utm_source=mailtic&utm_medium=email&utm_campaign=newsletter&utm_term=agriculture+economie+landes+les-entreprises-dici

Materrup vient d’être sélectionnées pour intégrer le programme #FTGreen20 ! 🏆

Les lauréats du #FTGreen20 sont dévoilés !

♻️ Ce nouveau programme national #FrenchTech #Green20 soutenu par Ministère de l’Environnement a pour objectif de faire émerger les nouveaux champions technologiques de la transition écologique  en détectant puis accompagnant des startups #greentech qui ont la capacité de devenir les futurs leaders français puis internationaux dans ce secteur.

French Tech Green 20 a retenu 20 startups françaises prometteuses travaillant sur des marchés ou des activités favorables à la transition écologique. 🌱

Les startups lauréates ont été sélectionnées en fonction des critères d’éligibilité et de sélection définis dans l’appel à projets, avec un classement réalisé par les membres du jury.

Les 20 pépites ont été sélectionnées en raison de l’impact environnemental de leurs solutions et de leur capacité à les déployer à grande échelle.

Et parmi les 20 pépites au niveau national, nous avons le plaisir de retrouver MATERR’UP, une startup industrielle, accompagnée par le Technopôle Domolandes à Saint Geours de Maremne. Elle développe des bétons bas-carbone, via un liant d’argile breveté.

Materr’up : La #startup landaise a développé des bétons bas-carbone, via un liant d’argile breveté qui est au cœur de sa technologie baptisée Crosslinked Clay Cement réduisant jusqu’à 80 % des émissions de #CO2.

Materr’up et ses bétons innovants

Bétons innovants

La startup industrielle, basée à Domolandes, a développé des bétons bas-carbone, via un liant d’argile breveté qui est au cœur de sa technologie baptisée Crosslinked Clay Cement. Ce tour de force technique « permet de réduire de 50 % à 80 % les émissions de CO2 et confère aux bétons des propriétés hygrothermiques élevées », précise la société.
Cette alternative est certifiée, esthétique et issue de ressources locales : les bétons terre sont ainsi formulés à partir d’argile de carrière et de terre d’excavation de chantier. A lui seul, le secteur du bâtiment pèse 34 % des émissions de CO2 en France alors que le BTP génère 70 % des déchets émis. Des totaux énormes qu’il faut absolument réduire. Materr’up entend apporter une partie de la solution.

Domolandes est très fier de Materr’up et de son équipe !! 🏆

3DFH dans Presse Lib

Découvrez fabien hicauber et sa société 3dfh, spécialiste de l’infographie 3D et hébergée à Technopôle Domolandes depuis cinq ans.

De formation géomètre topographe, Fabien HICAUBER s’est formé au métier de la 3D et a créé la SARL 3DFH en 2014 pour réaliser des images et vidéos pour les projets immobiliers.

Très intéressé par les nouvelles technologies et toujours à la recherche d’innovations, 3dfh développe également différents outils pour faciliter la présentation, promotion, et commercialisation de ces projets : site internet, maquette numérique, visite immersive temps réel…

Un article lui est consacré dans PresseLib’​ : ICI

MATERR’UP et l’Université de Pau et des Pays de l’Adour lancent la Chaire Industrielle CONSTRUCTERR

MATERR’UP, start-up industrielle implantée à Domolandes et spécialisée dans les bétons bas carbone vient de lancer la Chaire Industrielle CONSTRUCTERR en partenariat avec l’Université de Pau et des Pays de l’Adour !

Créée il y a 3 ans et installée sur le technopôle Domolandes, la start-up Materr’up propose une nouvelle génération de bétons à base de terres d’excavation ou de ciment d’argile. En fin d’année dernière, elle a levé 3 millions d’euros pour recruter et bâtir une usine.

Materr’up est sans conteste l’une des startups landaises à suivre. Créée en 2018, la jeune entreprise est pilotée par 3 associés aux profils complémentaires, à savoir Charles Neuville (docteur en physique-chimie, ancien ingénieur chez Lafarge et Total), son frère Mathieu (qui a opéré dans le secteur bancaire) et Manuel Mercé (docteur en chimie). Tout ce qu’il faut pour nourrir des ambitions… en béton.

La semaine dernière, Materr’up s’est encore signalée en signant un partenariat inédit avec E2S UPPA (consortium de l’Université de Pau né du programme d’investissements d’avenir de l’État et spécialisé dans la transition énergétique) et la Communauté Pays Basque. Ce partenariat porte sur la création d’une nouvelle chaire industrielle, baptisée « Constructerr’ » et que la startup financera à 55%.

Cette chaire, dirigée par le chargé de recherche Fionn McGregor, étudiera les propriétés des nouvelles générations de béton en termes de confort hygrothermique et de qualité de l’air, de recyclabilité et de modélisation, ainsi que la « création de nouveaux systèmes de construction en couplant le béton d’argile à d’autres matériaux tels que le bois et les isolants biosourcés ».

À cette chaire d’une durée prévue de 5 ans, seront bientôt rattachés deux doctorants et deux post-doctorants. L’agglo basque co-finance la chaire car elle sera fixée à Anglet, du côté de l’ISA BTP. « C’est la première chaire industrielle européenne dans le secteur du bâtiment qui est portée par une start-up », explique Materr’up, dont le projet « s’inscrit dans le contexte réglementaire de la RE2020 », nouvelle réglementation environnementale touchant aux bâtiments neufs et visant à en diminuer l’impact carbone.

Article de Presse Lib sur L’Atelier 28 Espace Coworking

Implanté au sein du Technopôle landais, à Saint-Geours de Maremne, il accueille des coworkers aux multiples profils : un écosystème dynamique et proactif…

L’Atelier 28 est ouvert aux porteurs de projets de toutes les filières d’activité, aux étudiants, aux travailleurs indépendants et aux salariés nomades, aux personnes en réinsertion professionnelle, aux entreprises en transition, ainsi qu’aux cadres éloignés de leur base, en particulier à la belle saison.

« Nous avons décidé de créer cet espace de coworking pour attirer des acteurs du territoire et consolider notre écosystème créatif. C’est une formule souple qui vient renforcer notre offre de pépinière et d’hôtel d’entreprises. Ce service attire des porteurs de projets pour une période éphémère avant de les rediriger vers d’autres espaces de notre territoire et au-delà », note Hervé Noyon, directeur général des technopôles Domolandes et Agrolandes. (…)

Lire l’intégralité de l’article Presse Lib : ici